Fiancailles Ujio et Motardes

La chapelle était encore vide pour l'heure. Mais déja était-elle décorée et apprétée pour la céremonie. Kuzcau admira l'architecture de la chapelle. Corbeau prit son envol et se placa sur l'autel, Cochon quand à lui fit le tour du propriétaire. Kuzcau prit congé de son hôte.

Owain , mon fils, je vais me retirer dans la sacristie pour me changer et me préparer pour la céremonie. Si tu veux bien m'excuser.

Kuzcau avisa l'entrée de la sacristie , s'y dirigea et y entra suivit de pret par Cochoin et Corbeau

Le cardinal se retira dans la pénombre pour se recueillir...

Aristote et Christos, faites que tout comme Natchiachia et Yhonny, que notre soeur et notre frère trouvent dans le mariage le bonheur

Pour une fois, Leg l'Ancien DiCésarini , cousin du fiancé, n'allait point arriver en retard....

Normal, car ses fonctions de Duc de Savoie touchaient a leurs fins, et il avait eu le temps de se préparer...de plus il était accompagné de Dame Niac, gente Damoiselle de Belley que le vénrable Leg fréquantait depuis quelques temps.....

Leg était vétu pour la circonstance de beaux atours afin d'honorer son cousin Ujio et sa future cousine, Dame Motarde.

Le couple formé par Leg et Niac arriva donc et se dirigea vers les fiancés...

" Motarde, quel plaisir de te revoir....tu est vraiment resplandissante...l'amour te transforme ....quand a toi cher cousin je te sens en pleine forme....Mais je manque a tout mes devoirs....Motarde je te présente ma Douce Niac, tendre amie de Belley"

Le Patriarche arriva enfin à la chapelle , accompagné de son amour Babillage.
il vit qu'il y avait beaucoup de monde aux alentours.
Beaucoup de ses amis .
il se dirigeat alors vers leg l'ancien qu'il n'avait pas vu depuis longtemps et qu'il voyait aujourd'hui en charmante compagnie.
et bien leg l'ancien. je te trouve la très bien acompagné...peux tu nous presenté cette jeune demoiselle ?

La soirée avanca, la petite chapelle se rempli petit à petit de tant de presence qui ravisait son coeur. Elle apercut le cardinal Ubaldo, qui lui avait fait l'honneur de lui demander d'être sa marraine au temple qui alla prié un peu a l'ecart, puis Azdrine qui s'installa sur un banc, elle lui adressa un sourire avant de se diriger vers Leg qui venait de franchir la porte en charmante compagnie. Voyant qu'il etait deja en dicution avec son frere, elle alla saluer Jojo qui lui aussi ete present, son parrain qui l'avait tant soutenu au temple, puis alla a la rencontre d'Elmoron:

Monseigneur..........petit sourire.............mon ami, merci d'etre la......

A peine eut elle le temps de finir sa phrase que son coeur s'arreta......Il venait d'entrer dans la chapelle, et elle le vit comme si c'etait la premiere fois. Plus rien n'existait que lui, son regard ne pouvait plus le quitter, il occupait tout l'espace et le temps.

(HRP : Cela a lieu avant mon enlèvement, avant Odessa et juste avant la quête de l’épée donc ben c’est parti)

Le Visiteur du Temple entra dans la salle… En retard, tiens donc qu’elle surprise ! Mais qu’importe, le principal est qu’il était là. Il avait hésité avant de venir. Pour lui le temps ne pouvait continuer à s’écouler normalement… Comment des personnes pouvaient connaître le bonheur alors qu’IL était mort. Comment pouvait on aller de l’avant après… Il n’avait pas vraiment soigné son aspect physique, une barbe d’une semaine ornait son visage. Seuls ses vêtements, d’un blanc immaculé faisaient un effet de propreté.

La chapelle lui fit immédiatement un effet apaisant. Il connaissait, pou l’avoir souvent expérimenté les bienfaits de la prière. Il hésita à avancer plus en avant, pourtant, seuls des amis lui faisaient face : Leg, Kinjojo, et tant d’autres… des amis… en avait il toujours ? Il vivait avec le poids d’un passé, refusant de regagner le présent et de se concentrer sur l’avenir.

Il vit Motarde… Il ne put s’empêcher de l’admirer. L’imminence de la cérémonie semblait la métamorphoser et elle rayonnait de bonheur. Il ne put retenir un pâle sourire… Si elle avait trouvé ce qu’elle cherchait depuis tant de temps, il était heureux pour elle. Il n’avança pourtant pas plus loin, regardant Ujio saluer tout le monde.

Corentin regardait les invités, ils semblaient si heureux… Il s’en voulut d’apporter son humeur morose… A coup sur il allait gâcher la fête. Il jeta un coup d’œil au sol de la chapelle, à coup sur il le salissait, il regarda la chapelle en son ensemble, elle semblait apprêtée avec goût… il faisait tâche… L’espace d’un instant il songea à partir… cela vaudrait mieux pour tous, après tout, personne ne savait qu’il était là. Motarde serait peut être triste mais cette tristesse serait vite remplacée par le plus grand bonheur, il y a des tristesse dont on guérit et d’autres… comme la sienne dont on ne guérissait jamais, du moins le croyait il.

Il fit un pas en arrière, comme pour sortir. Mais trop tard, elle l’avait vu… Il ferma les yeux un instant, respira un coup et se prépara à la recevoir. Il était prêt… sauf à ce qui se passa, impatient de le revoir, elle le serra dans ses bras. D’abord surpris, Corentin finit par sourire. Ainsi, elle était contente de le voir… Au moins n’aurait il pas totalement loupé sa vie si il avait put apporter ne serais ce qu’un furtif moment de bonheur dans le cœur de quelqu’un. Lentement, il se laissa bercer par une douce nostalgie lorsqu’elle lui reparla du serment qu’elle avait prêté… Dire qu’il avait été un des seuls à lui avoir fait confiance à cette époque… maintenant qu’il y repensait, il se souvenait que l’adversaire le plus farouche à l’intégration de Motarde n’était autre que son fiancé. L’incongruité de la situation failli le faire rire. Mais décidément, il n’y avait plus le cœur. Il ne put que répliquer quelques paroles.
J’aurais été un bien piètre ami que de ne point t’accompagner lors de ce moment. Parfois je regrette de ne pas avoir accompagné plus loin d’autres amis… Quand à ton épée, je ne crois pas avoir eu à pâtir de mon acte… Mais je divague… un peu de mal à repartir sans lui… désolé, il rit légèrement, mais j’ai l’impression parfois d’être resté dans le passé… Il me faudra du temps pour vraiment penser à autre chose…

Il pensait vraiment ce qu’il disait. Si il avait sut ce qui l’attendait sous peu de temps aurait il parlé comme ça ? Sûrement, parce qu’il n’aurait jamais pensé que quelqu’un puisse s’intéresser à lui pour ce qu’il était vraiment. Non désireux de troubler un si beau moment, il sourit à nouveau et parla encore.

Je vois beaucoup de têtes connues. Tu as de la chance d’avoir tant de personnes qui t’apprécient… Mais on dit souvent que c’est dans l’adversité que l’on voit vraiment ceux sur qui on peut compter… Si un jour tu as besoin, souviens toi de ceux qui t’ont soutenus alors que tout était contre toi.

Mais que disait il ? Que lui arrivait il ? Il fallait qu’il se ressaisisse. Il laissait sa pensée vagabonder et il sortait des phrases qui n’avait aucun lien avec le contexte.

Excuse moi, je divague.

a proximité du templier

kinjojo ne put s'empêcher d'entendre les paroles de ce dernier

*c'est vrai songeat'il , tout celà est vrai, le mariage de sa "filleulle " de coeur n'était 'il pas folie??

je dois parler a ujio, faire table ras de passé et connaître ses véritables intentions

Un faucon arrive au dessus d'Ascalon, il fit deux tours dans le ciel avant de plonger en piqué vers la chapelle. Il se pose près d'un valet. Celui ci regarde étonné le faucon puis s'apercoit très vite qu'un message est attaché sur son dos.
Le valet s'approche et le faucon vient se poser sur son avant-bras. On peut lire sur le message " A dame Motarde d'Ascalon".

Le valet prend sans difficulté le message et le donnera à qui de droit, le moment venu.

Citation :

Madame,
C'est de Tours que je vous écris ce jour, afin de vous exprimer mes plus vives félicitations pour vos fiançailles. Veuillez saluer le chevalier Ujio et lui présenter mes amitiés et mes voeux de bonheur.
Cela aurait été avec plaisir que j'aurais répondu à votre invitation malheureusement la France traverse des heures sombres et mon devoir était de répondre à l'appel de mon Roy.

J'espère vous revoir bientôt en compagnie de votre fiancé, en BA ou ailleurs.

Dieu vous garde et vous bénisse

Fait à Tours, le dix-septième jour du mois de février 1455
Phaleg du Velay
baron de Vissac

Kuzcau fin pret et reposé s'appreta à sortir de la sacristie. Il jeta un oeil ds la nef , il y reconnu le pére Elmoron, a qui il avait succéder à la tête de la province de Bourges. D'autres personne qui lui été pour l'heure inconnu, mais faisant apparement parti de l'ancien ordre de Motarde qu'elle avait quitté depuis peu. Et d'autres dont il pensait avoir déjà pu croisé. Cochon s'engaga vers l'autel et alla s'installer comme à son habitude sur le devant de l'autel. Corbeau le suivit de pres.

Cooaaa Coaa coa

Kuzcau aprés un temps d'arret s'engagea a son tour et alors que les cloches sonnaient, il s'avença vers l'autel se signa et se retourna vers l'assemblée.